Le premier enduisait une de ses pattes de salive et la passait sur son mufle pour se débarbouiller, avec ce mouvement de chat qui, dit-on, présage la pluie. Pendant les années qui s’écoulèrent depuis la guerre d’Orient jusqu’à son ambassade en Russie, on voit le représentant de la Prusse auprès de la confédération germanique dans une agitation constante, en voyages continuels à travers l’Allemagne, la France, le Danemark, la Suède, la Courlande et la Haute-Italie, cherchant des sujets de distraction, ou bien peut-être aussi des sujets d’observation, et ne revenant chaque fois à Francfort que pour y soulever un incident, casser quelque « bric-à-brac, » et pousser à bout le nerveux et bilieux comte Rechberg, représentant de l’Autriche et président du Bundestag. Nous avons de lui la Guerre de Catilina et la Guerre de Jugurtha, ainsi que deux Lettres à César, écrites la 1re avant l’entrée de ce général à Rome, la 2e après la bataille de Pharsale, et qu’il faut regarder comme des brochures politiques suggérées par César lui-même. Il se fit alors l’agent secret de César à Rome, alla le trouver dans son camp en 50, devint de nouveau, par son appui, questeur (48), puis fut fait préteur (46), et, en cette qualité, eut part à la guerre d’Afrique
SALLO ou SALO (Denis de), conseiller au parlement de Paris, né en 1626, m. en 1669, fonda en 1665 le Journal des Savants. 1742; de Burnouf (dans la collection de Lemaire), Paris, 1821, in-8; de F. D. Gerlach, Bâle, 1823-31, 3 v. Pénétrons dans les coulisses à l’heure du repos (de deux à quatre heures de l’après-midi), car, au moment du coup de feu, vous seriez suffoqué par cette température de fournaise, assourdi par les hurlements qui répondent aux beuglements du porte-voix, bousculé par les diables blancs de cet enfer, qui courent d’une casserole à l’autre. L’ouvrage capital de Salluste était la Grande Histoire, truffes surgelées en 5 livres, comprenant tous les événements depuis la mort de Sylla jusqu’à la conspiration de Catilina : il n’en reste que des fragments : cette perte est irréparable. Ce mode de service est le seul qui permette un dressage rapide, et un service très propre et très chaud
AIDES, COUR DES AIDES. On peut dire qu’en général, on se préoccupe dans la petite culture de préparer le sol pour y cultiver d’abord des variétés de primeur, puis des précoces, de telle sorte que le terrain se trouve ensuite tout préparé pour y installer d’autres cultures de légumes. Bien que moins habile à discourir qu’à manier la lance, nous trouverons peut-être des raisons convenables, avec l’aide de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui a dit à ses apôtres : « Si vous avez à rendre témoignage de moi, ne vous préoccupez point de ce que vous aurez à dire. C’est grand pour toi ; tu as bien la place pour courir dans les corridors. Vous savez bien, lui crie-t-elle de l’autre bout de la table, avec un accent d’effroi courroucé, vous savez bien que le docteur Gastaldi vous a prescrit l’usage des toniques ! Et elle prit l’autre. La gelée au contraire fait périr les plantes lorsqu’elles sont mouillées, parce que l’eau qui se gele dans leurs pores les déchire en se dilatant, tout comme elle fait casser les vaisseaux où elle est enfermée. L’anticipation serait alors une variante du thème des “vrais” parents inconnus, fréquents dans les contes (thème du bâtard, de l’enfant abandonné, du “fils de roi”)
House : Je vais l’emballer vite fait. Situé en plein coeur du Mont Ventoux, côté Sud, le Chalet Reynard est à votre disposition en toutes saisons 7 jours sur 7 pour vous restaurer ou organiser une réception dans un cadre magique à deux pas du sommet. Ce n’est pas pour rien que la serre de notre hôte comprend une partie nurserie, une vraie, dans laquelle il choie ses petits bébés. Après avoir passé sa journée à conduire à travers les champs les trois chevaux qui formaient l’attelage ordinaire de sa charrette, quand venait le soir, il rentrait à la ferme où il servait, soupait sans grandes paroles avec les autres valets, allumait une lanterne, puis allait se coucher dans une manière de soupente pratiquée en un coin de l’écurie. Mais, ayant osé, par malheur, avoir quelques idées neuves en administration, le pauvre secrétaire fut cassé brutalement aux gages et sortit avec son fils des bureaux de l’Hôtel de Ville. SALLIER (l’abbé Claude), né en 1685 à Saulieu en Bourgogne, m. en 1761, étudia la théologie à Dijon, puis vint à Paris, où il fit l’éducation du fils de la comtesse de Rupelmonde, fut admis à l’Académie des inscriptions en 1715, et à l’Académie française en 1739, fut nommé professeur d’hébreu au Collége de France (1719), et garde des manuscrits de la Bibliothèque du roi (1721). Il a donné à l’Académie des inscriptions un grand nombre de savants Mémoires sur des objets d’antiquité, de philologie et de littérature, notamment des Remarques et corrections sur Eschyle, Sophocle, Euripide, Platon, Longin, Cicéron, a traduit plusieurs écrits de Cicéron, et a rédigé avec Boudot le catalogue des livres imprimés de la Bibliothèque du roi